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Coordonnées du thérapeute
11 Allée des Galips33160 Saint-Aubin-de-Médoc
Les questions à se poser :
Pourquoi est-il important de faire la différence entre médecines conventionnelles et pratiques non conventionnelles ?
Les médecines douces appartiennent au champs des pratiques de soins dites « non conventionnelles ».

La médecine conventionnelle se base sur des traitements démontrés scientifiquement définis par un consensus professionnel fort entre professionnels de santé ou sur des essais cliniques. la médecine conventionnelle s'appuye sur des méthodologies rigoureuses avec une efficacité médicale prouvée.

Les pratiques non conventionnelles ne se basent pas sur une démonstration scientifique ou clinique ayant permis de prouver leur efficacité, leurs effets, leurs mode d'action voire leur dangerosité. dans la majorité des cas, ces pratiques n'ont fait l'objet d'aucune étude clinique.
Peut-il y avoir une perte de chance pour le patient ?
Il est fondamental de comprendre que, si elles sont utilisees pour traiter des maladies graves en lieu et place de traitements conventionnels qui ont fait leurs preuves, ces pratiques non conventionnelles peuvent faire perdre des chances d'amélioration ou de guérison aux personnes malades.

La pratique non conventionnelle ne peut se substituer à la médecine conventionnelle. dès lors qu'elle présente des risques liés au non recours à des soins médicaux conventionnels ou qu'elles font l'objet de prestations commerciales trompeuses, ces pratiques peuvent être dangereuses.
Peut-on vérifier si un praticien de soins non conventionnels est fiable ?
Non, il est impossible de le vérifier car ces pratiques ne donnent pas lieu à des diplômes nationaux, ces professions ne sont pas réglementées et n’ont pas d’Ordre. Aucun site ne peut se prévaloir d’avoir certifié qu’un praticien de médecine douce est fiable dès lors qu’il n’existe aucun organisme de certification reconnu permettant de vérifier les informations données par le praticien.
Qui peut dispenser des soins en France ?
L’exercice de la médecine est réservé aux seuls médecins. Toute personne qui, sans être médecin prend part à l’établissement d’un diagnostic ou d’un traitement de maladies, réelles ou supposées, par acte personnel, consultations verbales ou écrites, exerce illégalement la médecine. Des sanctions (2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende) sont encourues pour l’exercice illégal de la profession de médecin, de chirurgien-dentiste, de sage-femme ou de biologiste-médical. (article L.4161-1 et L.4161-5 du code de la santé publique)
Quels sont les questions à se poser avant de faire appel à une pratique de soins non conventionnelle ?
  • Me suis-je bien renseigné sur les qualifications du praticien que je vais consulter ?
  • A-t-il, en parallèle de son activité, une qualification en tant que professionnel de santé ? Est-il enregistré auprès du registre des professionnels de santé (RPPS) ?
  • Est-ce que je fais appel à ce praticien en raison d’un échec de la médecine conventionnelle ?
  • Quelles sont les preuves d’efficacité de cette pratique non conventionnelle ?
  • Comment pourrais-je juger du résultat clinique ?
  • Si un problème apparaît, pourrais-je m’appuyer sur un professionnel de santé pour assurer le suivi ?
  • Me suis-je bien renseigné sur les risques liés à cette pratique ?
  • Ai-je consulté les avis d’autres patients ? Est-ce que ces avis sont vérifiés, puis-je leur faire confiance ?
  • Quel est le coût pratiqué ? Comment est-ce que je justifie ce coût ?
Que faire en cas d’insatisfaction ou en cas de problème avec une pratique non conventionnelle ?
Cela dépend de la nature du praticien :
  • Si le praticien exerce dans un établissement de santé, vous pouvez le signaler à la commission de relation avec les usagers et de la qualité de la prise en charge de l’établissement (CRUQ) ou saisir le directeur général de l’ARS.
  • Si le praticien est médecin ou exerce une profession paramédicale ou est pharmacien , vous pouvez le signaler au conseil départemental de son ordre ou saisir le directeur général de l’ARS.
  • Si le praticien est un professionnel autre que ceux autorisés à dispenser des soins, vous pouvez déposer plainte, par courrier simple, auprès du Procureur de la République près le tribunal de grande instance de votre lieu de résidence, qui transmettra au besoin au Procureur de la République territorialement compétent. Vous pouvez également déposer plainte auprès de la gendarmerie nationale ou du commissariat de police le plus proche de votre domicile.
Si vous êtes confronté à une situation que vous qualifiez de dérive sectaire ?
Informer la MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) d'une dérive sectaire en cliquant sur le lien : https://contacts-demarches.interieur.gouv.fr/miviludes/informer-la-miviludes-d-une-derive-sectaire/

Si vous voulez être accompagné par une association de patients pour vous aider sur une action juridique ou simplement une information lié à certaines pratiques

Présentation

Marie Hélène Bitone est Hypnothérapeute au 11 Allée des Galips 33160 Saint-Aubin-de-Médoc.

Moyens de paiement

Espèces, Chèques

Spécialités et Recommandations

  • Sophrologie

Informations pratiques

Adresse Marie Hélène Bitone
11 Allée des Galips 33160 Saint-Aubin-de-Médoc

Langue parlée français

Accès
Rez-de-chaussée, Accès handicapé, Parking gratuit
Quels sont les compétences professionnelles de Marie Hélène Bitone, Hypnothérapeute ?
Les compétences de Marie Hélène Bitone, Hypnothérapeute, sont :
  • Sophrologie
Quelle est la langue parlée par Marie Hélène Bitone, Hypnothérapeute ?
La langue parlée par Marie Hélène Bitone, Hypnothérapeute, est le français.
Quels sont les moyens de paiement acceptés par Marie Hélène Bitone, Hypnothérapeute ?
Marie Hélène Bitone, Hypnothérapeute, accepte : Espèces, Chèques.
Quelle est la spécialité de Marie Hélène Bitone ?
La spécialité de Marie Hélène Bitone est Hypnothérapeute
Quels sont les modalités d’accès au lieu d’exercice de Marie Hélène Bitone ?
Rez-de-chaussée, Accès handicapé, Parking gratuit